samedi 28 mai 2022

Guerre russo-ukrainienne ou racisme ordinaire ( Extrait )

                                                                 C’est une question qui revient tout le temps, c’est une question qui divise, qui fragmente et fragilise. Celle de savoir si, «Dieu» existe vraiment. Avons-nous effectivement le même Dieu ? Elles sont non exhaustives ces multiples interrogations. 
Tenter de répondre à cette question, déboucherai certainement à des débats sans fin et contextuellement hypocrites et haineux.

La réalité que nous refusons tous d’admettre est que: " L’homme est un loup pour l’homme " c’est dans une anthropologie basée sur la guerre, que Thomas Hobbes faisait cette déclaration. 


On est plutôt souvent tenté de dire que: " L’homme blanc est un loup pour l’homme noir ". 

On a voulu pardonner ces quatre cent ans d’esclavage, mais les faits sont têtus et ses galops font tellement de bruits qu’ils réaniment les morts. 

Il ne faut pas se leurrer, ce sera très difficile de défendre le racisme et ceci parce qu’ils sont nombreux à tenir le fil au plus loin de l’autre bout du corridor. 

Le racisme est une cruelle réalité tout comme l’homosexualité est une pratique qui est mal perçue par certains peuples de par leurs fondamentaux et cultures. La très ressente guerre en Ukraine nous permet de nous interroger sur la face réelle de l’homme. De constater à quel point les intérêts ont des origines. Cette guerre dont j’éviterai de m’y impliquer profondément, nous montre que nous ne sommes pas tous des hommes, en fait, il y a des sous-hommes et des hommes dignes. C’est ça que j’appelle le racisme et l’hypocrisie européenne.

Racisme et hypocrisie s’invitent dans la guerre ukrainienne

              Cette guerre bien entretenue par la très célèbre fine équipe que j’ai souvent baptisée « les créateurs du créateur » . Ceux-là qui tiennent le monde à leurs pieds sans le moindre remords. Aujourd’hui, cette mascarade est en train de mettre en mal, mais alors très importunément le vécu des populations du monde qui ne demandent qu’à respirer, inspirer et ingurgiter mais aujourd’hui se retrouvent à transpirer sur le coût de la vie qui n’arrange que les plus fortunés. 


               Le plus intriguant et même embarrassant dans cette situation est la façon dont les immigrés sont traités. Ceci revient à ce que je disais plutôt : Sommes-nous tous des hommes ? Au vue de ce qui se passe en sourdine ou alors dans la totale indignation des organisations syndicales et des droits de l’homme. Il y a vraiment à craindre pour le monde. 

Tout au début de cette guerre et comme partout ailleurs, les populations cherchent tous à se mettre à l’abri et très des feux de canons qui n’a ni couleur, ni race, ni sexe. Oui la mort n’a pas d’égale, elle frappe sans consulter toutes ces origines. 

             C’est le 24 février que les hostilités sont lancées sur le sol ukrainien, je m’abstiendrais ne parler des origines de ce conflit, même j’ai une toute autre vision sur ce que certains propagandistes essayent de nous faire gober. 

C’est sur les bruits de kalashnikov que les ukrainiens et tous ceux qui y résidaient se sont bousculé pour se mettre à l’abri de la mort. Et l’escale ou alors la destination la plus courte était les pays frontaliers dont notamment la Pologne. 

Ce pays ami et frère des compatriotes de Volodymyr Zelensky ne tardera pas à appliquer la convention de 1951 relative au statut des réfugiés. Ils vont alors sur les applaudissements de tout le monde entier assurer la protection de ces déplacés de guerre. 

               Mais seulement, l’on ignorait également ce que se passait en off. En effet, nous étions loin de savoir qu’il existait des réfugiés Gold ( les hommes à la peau blanche et les réfugiés imparfaits ( les populations noires). Des réfugiés noirs ont été refoulés à la frontière de ce pays, ils leur étaient interdit de rentrer sur le territoire polonais au profit des ukrainiens de souche ou alors toute personne à la peau blanche. Triste n’est-ce pas ? Pourtant vrai, aussi vrai que ces médias qui se sont attribués cette guerre et en ont fait leur ligne éditoriale H 24 n’ont pas trouvé aucun titre pour dénoncer ou alors diaboliser cet acte qui en a coûté la vie à plusieurs noirs en général et africains en particulier. Ces médias à gages et propagandistes étaient plutôt concentrés à aiguiser leur stylo comparable à un poignard pour vilipender et diaboliser le puissant guide Russe Vladimir Poutine. Ils ont pris le prétexte selon lequel, les enfants et les femmes étaient prioritaires. Mais qu’en est-il de cette femme comorienne et son bébé qui ont été refoulés à cette même occasion ? Ah oui, elle est de la mauvaise race ! Ces réalités, nous devons les admettre et éviter de surfer sur des malentendus qui ne sont pas vains.

Vous avez envoyé

Comment expliquer que le racisme soit encore aussi virulent des siècles après la traite négrière ?

                 Un contemporain dans ses élans de colère et de désespoir avait déclaré en des termes suivants: « pour combattre le racisme anti-noir, il faudrait appliquer la même règle de l’autre côté ». Cette déclaration qui n’est du tout pas à prendre en compte. C’est une barbarie déjà d’être raciste, cela l’est encore plus de penser que pour régler ce maux, il faudrait appliquer la loi du talion. Une des lois les plus anciennes, qui consiste en la réciprocité du crime et de la peine. Cette loi est souvent symbolisée par l’expression « œil pour œil, dent pour dent». 

Les hommes de couleur noires devraient s’imposer et s’impliquer véritablement dans cette société qui n’a à son endroit pour leitmotiv que mépris et condescendance. 


                Aujourd’hui, il est difficile d’expliquer comment est-ce que la cause homosexuelle est plus importante, plus défendue par certains organes internationaux habilités pour la cause, que la cause du racisme qui terrifie, déprime et tue des hommes qui ne sont tout simplement pas accepter de par leur couleur de peau ? Le cas Gana Gueye est le plus recent, pour une histoire de moeurs et de dignité, le racisme s'y est mêlé pretextant l'homosexualité. 


To be Continued [...]



COPYRIGHT:Romaric Sadibeu






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